Des chaos granitiques de Finiels au sommet éponyme, cette boucle suit les traces de Robert Louis Stevenson et de son ânesse Modestine.
La pelouse d'altitude, constituée d'une herbe rêche, le nard, s'adapte aux dures conditions climatiques. Sur le sommet, quelques îlots de bruyère, et quelques plants de myrtille parviennent à grand peine à s'implanter.
Une borne porte encore l'empreinte de la Croix de Malte (XIIeme siècle).
On randonne une partie de la boucle dans une très belle forêt de résineux, reboisé au cours du 20ième siècle, sur chemin et piste. L’autre partie se déroule sur les pelouses d’altitude si typique des crêtes sommitales du Mont Lozère.